22. Leontia
Tu lis en juxtalinéaire
Les Sonnets de Leontia Flynn
Une fraternité plénière
S’instaure avec l’âme d’un djinn
Belfast non la littérature
Suffit nul besoin de Belfast
Pour que s’enlève la parure
Que se soulève le ballast
Que l’époque s’écrive en rides
Et consigne erreurs et douleurs
Dans le ciel habité ou vide
Fait défaut toujours la chaleur
Tu la prends aux mots qui trépignent
Avides de chaos et signes