Nancy Huston en fleur et en os
Offre collector limitée ! 120 exemplaires numérotés par l'éditeur
Au-dessus des clivages actuels, Nancy Huston poursuit son œuvre émancipatrice et réconciliatrice (féministe, bien sûr, mais d’un féminisme humaniste). Avec En fleur et en os, elle réussit un coup de maître, en osant s’emparer d’un chef d’œuvre du théâtre, le Hamlet de Shakespeare, et d’un sujet politiquement sensible, les non-dits de l’amitié franco-harki, pour tisser des ponts entre les siècles, entre les cultures, et pour évoquer cette singularité de notre humanité qui est indépendante du temps et de l’espace : le désir de vie qui se heurte et s’entrelace à notre propre violence, à notre propre folie. Quel artiste ne travaille pas à cette élucidation?
Une comédie puissante, tout en nuances, à la fois œuvre de poésie et manifeste contre tous les obscurantismes. Paru le 21/09/2023
(Photo ©Fanny Dion)
Du couperet à la harpe
Christophe Esnault frappe encore. Dans la lignée de sa Lettre au recours chimique (2021), le poète en Neuroleptie manie le couperet en guise de harpe et nous livre probablement, avec Pas même le boucher, son texte le plus rageur et coupant, un poème sans ponctuation façon « working class hero » qui relate l’enfance et l’adolescence écorchée d’un narrateur sauvé par son amour de l’art et de la vie « haute ». Si le texte traite d’apprentissage, pour le narrateur synonyme d’humiliations et de rage, le texte est lui-même, par son rythme, par son équilibre, et par l’humour affleurant à chaque ligne, une œuvre de maturité, accomplie.
À la confluence de Louis Calaferte, de Edward Bunker et de Bérurier noir
Paru le 08/06/2023
(Illustration ©Aurélia Bécuwe)
Le Bonjour de Christopher Graham
Guillaume Decourt est de retour. Après le triomphe de son A 80 KM de Monterey, le poète voyageur prolonge ses tribulations en Amérique du nord et par sa voix nous lie à leur insolite point de fuite, au travers de ballades, terza rima, triolets, pantoum, contrerimes, rondeaux, sonnets, augmentés de dizains de formes entièrement
inédites. 37 poèmes de formes fixes, « traditionnelles », en voie de disparition, pour évoquer paradoxalement les USA dans toute leur contemporanéité.
À la confluence de Louis Aragon, de Raymond Carver et des Rhapsodies de Liszt
Paru le 23/03/2023
(Crédit photo ©Olivier Pascaud)
Le théâtre d’Emmanuel Venet rejoint la « Freaks »
L’écrivain et psychiatre Emmanuel Venet fait brillamment entrer le théâtre dans la collection «Freaks» !
Avec La Sainte-Recommence, une pièce en un acte au décor minimaliste, Emmanuel Venet nous plonge au coeur d’un huis-clos entre deux êtres cabossés qui poursuivent un simulacre de dialogue dans lequel les mots, comme frappés d’insignifiance, servent la logique aliénante de la routine en oubliant la potentialité libératrice de la parole. Il en surgit une poésie de l’indécidable, un humour baroque et un coup de chapeau malicieux à la complexité de l’âme humaine.
À la confluence d’Eugène Ionesco, de Samuel Beckett et d’André Green.
Paru le 24/01/2023.
(Crédit photo ©Pascal Viénot)
La poésie lumineuse de Watson Charles
présélectionnée pour le Grand Prix de la Poésie 2023 de la SGDL
Sélectionné pour le Prix Méditerranée 2022 et présélectionné pour le Grand prix SGDL de la Poésie 2023, le recueil Seins noirs de Watson Charles a été salué par Hugues Robert (Charybde, 27/06/22), F. Thiéry-Mourelet (Recours au poème 21/10/22), E. Caminade (L’Or des livres, Mai 2022), Florent Toniello (D’Ailleurs poésie, Juillet 2022) et Valérie Canat de Chizy (Terre à Ciel, Juin 2022).
Watson Charles poursuit avec ce recueil une quête poétique et intimiste, traversée de doute et de solitude essentielle. Il nous propose un chant en quatre parties qu’unifie sa voix singulière et sensible, tissant les liens entre une quête absolue de rêverie et l’angoisse du monde. Ces poèmes évoquent parfois le vide, l’absence et l’époque tourmentée dans laquelle nous vivons – tout en la questionnant –, mais aussi la nécessité de dire le sensible, remonter le temps avec les mots.
À la confluence de Pablo Neruda, Aimé Césaire et Paul Eluard.
Paru le 19/05/2022.
Le poème de la pandémie
Du vers libre au sonnet : un testament poétique en forme de manifeste
Toute âme ayant assisté à une « lecture-concertante » du fondateur des Parvis poétiques pourra en témoigner : Marc Delouze est un aède, il porte la poésie en sa chair, il incarne ses textes.
Que nous propose-t-il avec La Divine Pandémie ? Rien de moins qu’un testament poétique en forme de manifeste : voici un « journal de confinement » qui se veut le contraire d’un journal de confinement – il est cheminement d’un poème, en dialogue avec La Divine Comédie de Dante, produisant des échos parmi les amis avec lesquels l’auteur correspond et partage son chant le long de la pandémie. Il s’agit bien d’une quête de la parole, en un temps où tout porte à l’étouffer, et d’une tentative (réussie) de communion autour de l’écriture poétique. Pour mieux dire un monde qui s’en va, et peut-être se préparer à un monde qui n’est pas encore arrivé.
Un livre remarqué par Chantal Dupuy (Recours au poème, Aout 2022)
Paru le 21/04/2022.
Chimères sur le vif
Des chroniques flamboyantes d’un monde parallèle sélectionnées pour le Prix Méditerranée de la Poésie 2023
Le recueil Les hauts du bouc & autres nouvelles de Tristan Felix nous invite à vingt-cinq chroniques flamboyantes d’un monde parallèle, au moyen d’une poésie chamanique qui nous fait percevoir la présence vibrante et fantastique du monde animal comme nous l’avons rarement perçu.
Tristan Felix est ici au sommet de son art, un art qui cultive l’échange, l’étrange, le brut et le ciselé, dans lequel des créatures venues d’ailleurs tentent de guérir qui s’y frotte, entre théâtre de rue intérieure, cabinet de curiosités et cirque poétique.
Un recueil sélectionné pour le Prix Méditerranée 2022 et chroniqué par Jean-Noel Segrestaa (Revue Europe, nov 2022), Maurice Mourier (En attendant Nadeau 21/09/22) et Alain Nouvel (Recours au poème, 21/10/22).
À la confluence de John Cowper Powys, de Jules Supervielle et de Tadeusz Kantor. Paru le 07/04/2022.
La rencontre du tango argentin et du fantastique
Sélectionné pour le Grand Prix de l'Imaginaire 2023
La belle bouffée d’oxygène et d’imaginaire, de liberté et d’humanité proposée par Jean-François Seignol ne laisse pas indifférent : après avoir a été remarqué et chroniqué par Anthony Dufraisse (Le Matricule des anges, Avril 2022), Le Figaro littéraire (28/02/22), Arnaud Laimé (Bifrost, Juillet 2022), Francia Garcia Ficheux (La Salida, Avr 2022), Hugues Robert (Charybde, 25/07/22), Fantastinet (mars 2022) et Nikola Delescluse (podcast Paludes, 01/04/22), le recueil de nouvelles Le Tango des ombres est sélectionné pour le Grand Prix de l’Imaginaire 2023.
Le Tango des ombres, ce sont cinq nouvelles de littérature fantastique de , préfacées par Catherine Dufour, qui tournent autour du tango argentin. Résistance et milonga, philtre d’amour et Carlos Gardel, arbres-tambours et exoterre, doppelgänger et tango queer, plaintes du bandonéon à l’horizon d’un trou noir : c’est bien simple, c’est du jamais lu ! Un livre qui célèbre la sensualité, le désir et la flamme déraisonnable qui fondent notre humanité et qui nous invite à danser !
À la confluence de Carlos Gardel, Arthur C. Clarke et Edgar Poe.
Un premier roman « antimoderne »
La démission d'un employé de « la start-up nation »
« Antimoderne », vous avez dit « Antimoderne »? Comme c’est moderne… Antoine Compagnon, dans son superbe essai (Les antimodernes) rappelle que « pour être antimoderne, il est indispensable d’avoir traversé le moderne ». Quel meilleur narrateur, donc, qu’un employé de « la start-up nation » pour croquer l’air du temps et nous faire le récit d’une démission, d’une déconnexion, et d’un retour à l’authenticité, au sacré et à la tradition ? Nous sommes très heureux d’accueillir Attrition, un premier roman très pertinent de Frédéric Bécourt, dans l’arc-en-ciel de notre collection « Freaks ».
À la confluence de Michel Houellebecq, de Philippe Muray et des « Hussards ».
La « bonne nouvelle » de l’Apocalypse
Un roman-poème-essai de Muriel de Rengervé
Le magnifique roman Nos Paradis Perdus de Muriel de Rengervé nous rappelle que la planète n’a nul besoin d’être sauvée par les fourmis que nous sommes et qu’en l’occurrence, notre disparition est certaine. En quoi est-ce une bonne nouvelle? Eh bien parce que c’est une révélation, pardi: l’apocalypse de Muriel de Rengervé parle à notre âme, nous ouvre les yeux, et nous invite à nous émerveiller et à assumer notre pleine humanité. À la confluence de Pasolini, Baudelaire, Jack Kerouac et Thomas Bernhard.
Un livre salué par Eric Naulleau (« l’une des révélations de cette rentrée littéraire » Transfuge n°150) et par Romaric Sangars (« Beau, terrible, enlevé » L’Incorrect n°45).
Ne manquez pas la chronique radiophonique de Nikola Delescluses ! (10 min | « Paludes » | Radio Campus Lille)
Alexis Legayet persiste et signe
La comédie romanesque qui réconcilie les genres
On ne pouvait pas vous laisser jouir de cet été sans vous proposer une petite gâterie: la nouvelle comédie loufoque, folle dingue, potache et suicidairement non politiquement correcte de Alexis Legayet.
Après nous avoir bien fait rire (et réfléchir), avec son roman Bienvenue au paradis, sur les conséquences de l’antispécisme et du transhumanisme poussés jusqu’à l’extrême, Alexis Legayet revient en force, sans complexe, avec un petit bijou de fable philosophique qui s’attaque aux excès du néoféminisme : Délivrez-nous du mâle, ou le 1984 de George Orwell scénarisé par les Marx Brothers; le désarroi sceptique d’un mâle de quarante ans plongé malgré lui dans le monde de #metoo.
C’est drôle et sérieux, léger et profond, c’est complètement freaks. Nous ne prévoyons pas de traduire ce livre en écriture inclusive.
À 80 km de Monterey avec Guillaume Decourt
Eric Naulleau parle d’une « exaltante certitude, celle d’avoir découvert un grand poète. »
Guillaume Decourt fait une entrée fracassante dans la collection « Freaks » et son À 80 km de Monterey reçoit un accueil élogieux. Lisez ce qu’en pensent ses lecteurs : Eric Naulleau (Transfuge), J.B. Corteggiani (L’Obs), Guillaume Lecaplain (Libération), Dominique Sorrente (Revue Europe et Poezibao), Alain Wexler (Verso), Arnaud Talhouarn (Poezibao), Didier Ayres (La Cause littéraire), Jean-Paul Gavard-Perret, Patrice Maltaverne
Poète et pianiste classique, traduit dans une dizaine de langues, Guillaume Decourt inscrit son travail dans une poésie narrative de forme fixe. Il nous convie ici à un voyage au centre du monde, en quarante-quatre poèmes de quatre quatrains qui sont autant d’étapes, formant un continuum chapitré. Le titre À 80 km de Monterey se réfère à Big Sur, où l’on aborde la côte la plus sauvage de la Californie et où a vécu Henry Miller. Une destination qui est moins réelle que fantasmatique, qui est moins un lieu que l’état d’esprit contemplatif avec lequel le voyageur-poète observe et saisit la beauté du quotidien
La bibliothèque de Bartleby ouvre ses portes !
Bienvenue dans la bibliothèque imaginaire de Roland Bartleby !
L’avatar homonyme du scribe inventé par Herman Melville vous convie à une anthologie de textes sauvés du néant. Véritable « Cabinet des curiosités littéraires » aux formes variées (glossaires, pseudo-articles, jeu de l’oie, conférence, slogans et aphorisme), privilégiant le hasard, la collision, le crossover, le mash-up, l’absurde et la dérision, dans une ambiance oulipienne et pataphysique, The Dead Letter Society vous promet un périple aussi accidenté que loufoque, grâce auquel vous parcourrez une histoire alternative de la Littérature.
Passé par la poésie, la bande dessinée et les littératures expérimentales, Xavier Serrano pratique volontiers le détournement, l’appropriation et toutes formes d’intertextualité.
Ne manquez pas la chronique radiophonique de Nikola Delescluses ! (10 min | « Paludes » | Radio Campus Lille)
« En Thérapie » sous neuroleptique
Un voyage en Neuroleptie sous la conduite de Christophe Esnault
Christophe Esnault est dans la place !
Æthalidès est honoré d’accueillir le co-fondateur du projet Le Manque. Vous ne connaissez pas Le Manque ? Près de 200 videos, clips et haïklips réalisés à ce jour avec Lionel Fondeville, Aurélia Bécuwe, Brice Vincent et Franz Griers… – foncez visionner Je veux un enfant médiocre et Vider des poulets.
Christophe Esnault : quatorze ouvrages publiés, plus de deux cent articles ou chroniques en revues – une créativité & énergie débordante… Mais aussi un combat : celui contre la dysphorie, à laquelle il est confronté depuis plus de vingt ans, avec pour adjuvant (ou opposant ?) le recours chimique.
C’est le récit de ce combat qu’il nous livre de main de maître, dans un flux ininterrompu, explosif et inventif, emmené avec puissance, rythme, précision et poésie : sa Lettre au recours chimique est parue le 11 mars.
Une symphonie d’échos jusqu’à une note de lecture dans la prestigieuse NRF (juillet 2021)! Découvrez ce que pensent les chroniqueurs de ce texte: ils en parlent mieux que nous! Merci à Emmanuel Venet, Marc Verlynde, Didier Ayres, Florent Toniello, Ahmed Slama, Olivier Hervé, Thibault de Vivies, Agathe Martin, Guillaume Basquin, Félicie lit aussi, Fabien Ribery, Bruno Lalonde, Marie-Pierre Soriano
Ne manquez pas la chronique radiophonique de Nikola Delescluses ! (9 min | « Paludes » | Radio Campus Lille)
La guerre de Troie version « Thelma & Louise »
« La Chienne », un roman intimiste et poétique de Olivier Massé
Les chiens du coronavirus aboient, la caravane Freaks passe. Nous commençons une année 2021 riche en publications par un bijou de roman : La Chienne, justement, une chienne aux crocs acérés par la solitude et la violence des hommes. Une version intimiste d’une épopée aux sources de la civilisation européenne. Rien de moins. Chez Æthalidès, on ne fait pas les choses à moitié.
Ils ne pensent pas vraiment à nous. Pourtant certains se montrent gentils. Certains se montrent même intelligents, fins, spirituels. Cela ne change rien. Même pour ceux-là, nous devenons des chiennes si nous les imitons, si nous nous montrons intelligentes, fines, spirituelles. Les hommes ont comme un œil crevé, et c’est cet œil qui nous regarde.
Un indice ? Elle est la plus belle femme du monde. Et elle est la source d’un conflit qui depuis dix années se déploie à ses pieds, dans la plaine, au bas des murailles qui la maintiennent recluse. Cela vous dit quelque chose ?
Olivier Massé poursuit une œuvre orientée vers l’expression moderne de mythes anciens. Avec La Chienne, en donnant la parole à celle qui est l’objet même du désir, il livre une méditation sur l’écriture, sur la destruction et sur l’oubli, avec en toile de fond la menace de ténèbres dont l’écho nous est contemporain.
Alexis Legayet au paradis !
"Bienvenue au paradis" finaliste du prix de L’Incorrect 2020
La collection « Freaks » est honorée d’accueillir la nouvelle fiction décapante de Alexis Legayet, Bienvenue au paradis, un roman d’anticipation iconoclaste, suite logique de son précedent roman, Dieu-Denis ou le divin poulet. Le sujet du livre ? L’antispécisme et le transhumanisme poussés jusqu’à leurs ultimes conséquences.
— Nous ne sommes pas d’abjects cannibales évoquant en riant « le cri de la carotte ». Nous sommes des humains qui, après nous être si difficilement libérés du mal carnivore, entendons aujourd’hui libérer le monde du mal végétarien !
Poursuivant un chemin mêlant la fiction loufoque à la philosophie, Alexis Legayet explore les grandes questions de notre temps avec un ton à la fois candide et iconoclaste. Alexis enseigne depuis quinze ans la philosophie au lycée.
À la confluence de Voltaire, de Huxley et de La vie de Brian des Monty Python – dans la tradition du conte satirique.
Listé par Livres-Hebdo dans le top 10 des romans de S-F de la rentrée, ce roman est finaliste du prix de L’Incorrect 2020 (prix de l’Ivresse).
Collection « de sable plain »
La cigale par les ailes
Collection « de sable plain »
L’essai littéraire de Nicolas Pineau, La Cigale par les ailes. Zénon d’Elée par ses surnoms, continue d’émerveiller. Un retour presse inattendu, des lectures en librairie (Ouvrir L’œil et Michel Descours à Lyon) et des félicitations de lecteurs enthousiastes – qui eut cru que la pensée du présocratique Zénon d’Elée, souvent apostrophé par ses commentateurs, qui fait l’objet depuis l’antiquité d’un « procès de parole » sans précédent dans l’histoire des idées, puisse encore vibrer si fort ? – sinon l’auteur et son éditeur, évidemment.
Un beau succès critique, un sublime livre-objet magnifié par la conception graphique de Marion Cachon à ne pas manquer et à partager !

« Un livre prenant, atypique, très joliment illustré »
« Voici un livre étrange et rare - un bel objet au demeurant, très élégant, à la typographie raffinée. »
Robert Maggiori, Libération, 26/04/2019
« Le premier et merveilleux essai d'un non spécialiste infiniment curieux »
« [Le livre] glisse, entre les textes et images qu’il fait proliférer, la virgule vivifiante du surgissement, de "l’incomplétude foncière", qui se détourne des statues, fétiches et parcours fléchés, pour faire de chaque lecteur, comme de chaque auteur cité, un interlocuteur. » François Huglo Poète, essayiste et critique
François Huglo, Sitaudis, 10/06/2019
« Un essai buissonnier »
« Les auteurs grecs et latins font l’objet d’un regain d’intérêt. Les éditeurs ne s’y trompent pas. (...) [le] polémiste Zénon d’Élée fait l’objet d’un essai buissonnier, La cigale par les ailes de Nicolas Pineau (Éditions Æthalidès) » Le Figaro Littéraire, 02/05/2019
Le Figaro Littéraire, 02/05/2019La collection « FREAKS »
De la fiction affranchie des genres
Vingt Leçons de philosophie par le meurtre
Nouvelles de Jérôme Delclos
Un maître assassin enseigne l’art de tuer à son disciple (le lecteur) en vingt leçons sous-tendues par un principe philosophique et débordantes d’humour noir.
A la confluence de Cioran, J-P. Manchette et Groucho Marx.
Alice à Zanzibar
Limericks de Jacques Barbaut
Une appropriation particulièrement réussie de la tradition poétique anglo-saxonne des limericks. 238 limericks aussi couillus que beaux.
A la confluence de Luc Etienne, Jacques Prévert et Boby Lapointe.