
La famille royale aux Célestins
« Qui connaît la plus belle mort, le soldat qui tombe pour sa patrie ou la mouche dans mon verre de whiskey ? ». Ainsi commence le récit de Tyler, dans cette adaptation théâtrale du roman de Vollmann, à laquelle nous avons eu le privilège d’assister, Pierre Legris et moi, mardi soir, aux Célestins. Et déjà j’avais la chair de poule, tant il était palpable que la densité poétique de l’œuvre, traduite magistralement par Claro aux Editions Actes Sud, descendait sur scène et prenait possession, pour une durée de 4h, de la salle splendide.
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